Je lui tire mon chapeau : il ne fait dire que des vérités premières et donc de bon sens. Il serait temps que l'UE en considère le fondement et la justesse. Il a parfaitement raison de vouloir soumettre au vote de la population grecque son devenir. Je continue de croiser les doigts car  ce référendum reporte l'échéance. je ne doute pas du résultat : ce sera le refus d'une austérité injuste et cruelle. Et comme l'écrit Florentin, les armateurs et l'église devraient mettre la main au pot : pourquoi s’exonèrent-ils de tout impôt alors qu'ils ont des richesses qui aideraient le peuple grec ?  Ces gens-là, quand ils meurent, n'emportent pas leurs tas d'or. 

une majorité de grecs se ruent sur les distributeurs d'argent liquide, c'est dire la confiance qu'ils ont dans leur premier ministre d’extrême gauche Tsipras ... un menteur incapable qui a tout simplement berné les grecs juste pour se faire élire .. un peu comme Bessancenot le postier planqué qui donne des leçons mais vit grassement dans un très bel appartement et avec une compagne friquée....si Tsipras est si fort pourquoi il ne s'attaque pas aux vrais problémes qui plombent l'éconnomie de son pays, les armateurs, le cadastre, la fraude qui est un sport national, et que dire de l'église orthodoxe..ah ça il a de la gueule mais c'est tout ...

marie 

 Une vision restrictive de la ruée vers les distributeurs : traduire cela par une absence de confiance envers le ministre, c'est d'un rapide (ils veulent surtout pouvoir survivre car ils doutent de l'Europe ou plutôt des technocrates qui nous représentent)). De plus un jugement de valeur (menteur) qui peut qualifier tout homme politique de quelque bord qu'il soit. Celui-là n'est pas plus menteur que X ou Y (et chez nous, quand on sait qui ils sont ces menteurs...). Décidément la gauche est dans la ligne de tir de cette personne (il faut beaucoup d'humour pour rire à ce parallèle). en tout cas, si elle était en place, elle ne ferait pas mieux (qui le pourrait ?). Quant à faire en sorte que les éternels oublieux de l'impôt crachent au bassinet, c'est facile à dire, mais pas aisé à mettre en place. Tsipras ne peut tout de même pas les braquer...

Elle n'a pas compris "lapicardie" que ces affreux de la finance n'ont qu'une peur : c'est que la Grèce ouvre une alternative (avec contagion à la clef !). Ils ne font pas de l'économie mais de la (basse) politique. Ils doivent l'avoir mauvaise que Strauss-kahn reconnaisse que le FMI a fait des erreurs et que la seule solution est que les banques "prennent leurs pertes" ! Les voilà pris à contre-pied...